Celui qui pousse la porte du dojo d’aïkido…
Celui qui pousse la porte du dojo d’aïkido…

Celui qui pousse la porte du dojo d’aïkido…

Pour celui qui pousse la porte de notre dojo, au commencement, il y a sans doute l’envie d’apprendre à se défendre, la séduction pour la plastique de l’aïkido ou encore l’intérêt pour l’extrême orient, le Japon. Chacun son chemin. Au commencement, il y a ce kimono qu’ils appellent « keikogi », l’habit d’entraînement. Ici, la ceinture blanche est pour tout le monde, sauf pour ceux qui portent cette bizarre jupe culotte noire. Et puis ensuite, il y a ce rituel étrange. On s’incline devant un mur, devant une photo, et puis on s’incline devant un professeur, et puis un partenaire… Il y a un échauffement. Enfin, pas vraiment un échauffement, une préparation. Et puis des chutes. C’est étrange la chute, il faut rouler sur son bras, rouler sur son dos. On se relève toujours. Et puis viennent les techniques. On se saisit, on cherche le déséquilibre, puis on travaille sur des frappes, lentes, rapides, contrôlées, avec parfois la poussée d’un kiai, ce cri qui accompagne l’expiration. Il faut regarder et puis traduire dans son corps ce que l’on voit. Heureusement, il y a les anciens, ils nous guident, nous donnent des indications. Oui, cela, c’est un compagnonnage. Le début d’un long chemin de plaisirs et de découvertes.
Venez goûter la joie de ce commencement en poussant la porte de notre dojo.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *